Gentilhomme écossais - 1860

 

 

Cette pièce est proposée par Pegaso sous la référence 75-077.

 

C'est donc du 75 mm, une échelle un peu plus grande qu'à l'accoutumée dans mon cas.

 

La photo de la boîte est alléchante : la peinture de Danilo Cartacci, c'est tout dire !

 

 

Je ne m'étendrai pas sur la préparation de la pièce, mais autant dire que le montage est assez compliqué !

 

En prévision des opérations de peinture, il est indispensable de travailler la pièce en plusieurs parties séparées, ce qui est toujours un peu délicat vis-à-vis de l'ajustement final. Tout doit être bien préparé à l'avance pour qu'il ne reste qu'à coller.

 

Il n'y a sans doute pas 36 manières de procéder ; la meilleure méthode semble ici d'assembler :

  • d'une part, toute la partie haute de la pièce, sauf l'épée et la petite branche qui garni le béret ; 
  • d'autre part la partie basse, sauf la dague .

 

L'assemblage final se fera donc au niveau de la taille, lorsque la peinture sera bien avancée. Le petit raccord de milliput nécessaire est effectué à l'avance en bas de la ceinture.

 

Un piton de 1,5 mm est inséré dans la partie haute et un trou de 2,5 mm (pour garder un peu de jeu) est percé dans la partie basse.

 

Le piton permettra de manipuler la partie haute ; la partie basse le sera par un des traditionnels pitons mis en place dans les jambes.

 

La traditionnelle couche de base en Humbrol gris mat 28 et on obtient ceci (montage à blanc pour les photos !). Le petit décor, fort sympathique, est fourni dans la boîte.

 

 

 

Maintenant, quel motif de tartan choisir ??

 

Après une brève recherche, il se révèle que la pièce est directement inspirée d'une gravure de Kenneth Macleay, dont une copie figure dans un ouvrage de référence : "Tartan, an illustrated directory", de Charles Phillips. On retrouve également cette gravure, et d'autres, sur Internet, par exemple ici.

 

 

En voici donc un extrait.

 

Particulièrement ressemblant n'est-ce-pas ? L'attitude générale de la figurine est un peu modifiée (avec bonheur d'ailleurs), mais tous les détails vestimentaires sont rigoureusement identiques.

 

Il s'agirait d'un membre du clan MacLachlan. 

 

Pour les passionnés du sujet, les MacLachlan descendent des MacLochlainns, un puissant clan d'Ulster. Leur territoire était centré sur le loch Fyne, sur la côte ouest de l'Ecosse. Ils s'illustrèrent auprès du célèbre Robert the Bruce au 14ème siècle, puis pendant la révolte des Jacobites au 18ème. Le chef du clan (Lachlan MacLachan) fût d'ailleurs tué à Culloden en 1746. Le chateau fût détruit en représailles ; ses ruines sont toujours visibles sur les rives du loch Fyne.

 

Enfin, leur devise : Fortis et fidus. Fort et fidèle. Fidèle, il va l'être, cet écossais, puisqu'il va rester un bon moment sur ma table de travail !

Les ruines de l'ancienne demeure des MacLachlan sur les rives du loch Fyne
Les ruines de l'ancienne demeure des MacLachlan sur les rives du loch Fyne

 

 

 

 

Le tartan

 

En étudiant la gravure, on peut en déduire les couleurs du tartan.

 

Oui, mais voilà : une discussion avec un camarade sème le doute dans mon esprit : la conformité de cette gravure est douteuse !

 

Le tartan historique des Mac Lachlan est à base de rouge et de bleu. Un tartan jaune existe cependant, le "yellow dress". Mais il est à base de fils noirs et jaunes, cf. l'image suivante. Le croisement de ces fils permet d'obtenir du vert, mais en aucune façon le bleu qu'on voit sur la gravure ...

 

 

Comme j'étais parti sur la base de la gravure, je vais devoir corriger ... On verra plus tard !

 

Revenons au motif du tartan, qui paraît un peu compliqué au premier abord. En décomposant un peu, tout s'éclaire.

 

Voici un enchaînement qui décompose les étapes de la peinture. Les couleurs sont bien entendu très approximatives, il s'agit juste d'illustrer la chronologie ...

Le début : un fond jaune uniforme

 

Le plus difficile est de réussir à composer la couleur de base.

 

Ne pas hésiter à accentuer les ombres au fond des plis, le tracé du motif va écraser le relief de la gravure.

Puis une première de bandes vertes.

 

Au centre, la bande est à sa largeur entière.

 

Les bandes latérales en font la moitié : on considère qu'elles sont en bordure du carré de tissu représenté sur l'image.

Même chose dans l'autre sens.

 

Bien veiller à ce que les bandes soient bien parallèles et se coupent à angle droit. A plat, facile ! Mais dans les plis du tissu, c'est un peu plus délicat

 

Les intersections apparaissent déjà un peu plus vertes, normal, il y a deux couches de peinture.

On reprend la couleur des intersections des bandes.

 

Facile, les carrés sont déjà bien formés

 

Premières lignes jaunes sur les bandes vertes.

 

Le tracé des bandes guide celui des lignes.

 

Un pinceau bien affuté est indispensable pour que ces lignes restent fines.

Et les lignes jaunes dans l'autre sens.

 

Ca commence à prendre forme, encore un petit effort !

Les premières lignes vertes.

 

C'est plus facile, il n'y en a que 2.

 

Mais il faut veiller à bien les positionner au centre des grands carrés jaunes.

 

On y arrive !

Et l'ultime étape, avec les dernière bandes vertes.

 

Si vous êtes vraiment soigneux, il restera à éclairer un peu les points d'intersection des lignes, mais sans exagérer ; à l'échelle, c'est à peine perceptible.

 

 

 

 

 

Le décor

 

Juste un peu d'herbe sur la base fournie dans le kit, qui comporte une ancienne croix celtique en arrière plan.

 

 

L'herbe est un produit de chez Fredericus Rex (ref GL-002) : de petites touffes sur une goutte de colle. Assez délicates à mettre en place : elles doivent être bien serrées pour que la surface soit continue. Collage à la cyano accélérée avec un peu d'eau et un petit coup de ciseaux pour égaliser (pas trop quand même !)

Ensuite, peinture : faire couler un jus bien épais de Brun Van Dyck sur toute la surface ; puis dans le frais, revenir avec des brushes légers de bleu turquoise puis de jaune d'aurore passés avec un gros pinceau.

Et pour la croix : c'est un élément d'arrière plan, elle va rester assez sombre, et d'une tonalité cohérente avec le reste du décor. Même principe que pour l'herbe : sur la base marron Humbrol mat 98, un bon gros jus de BVD + Lamp Black pour commencer, puis des brushes d'ocre jaune, de jaune de Naples et de blanc. Insister sur les arêtes supérieures de la sculpture pour les éclairer. Et quand c'est sec, re-jus noir - marron - vert foncé en texturant un peu.

 

 



Les chaussettes

 

 

Les chaussettes seront d'une tonalité proche de celle du kilt et du plaid. Mais le motif est à base de losanges. Elles présentent une couture sur l'arrière. Enfin, j'ai représenté le pli du haut de telle sorte que le motif ne soit pas interrompu (ce qui a d'ailleurs donné lieu à des échanges passionnés !) .

 

Allons-y en quelques images :

Sur une base jaune, le motif est tracé à la terre d'ombre bien diluée, ce qui permet de corriger facilement, en effaçant le trait au WS.

 

Il suffit de tourner de manière bien régulière autour du molet, en veillant à ce que les losanges gardent une taille constante.

On remplit ensuite une bande sur deux d'une couleur verdâtre.

 

Dans un sens d'bord, puis dans l'autre. On en profite au passage pour corriger les petits défauts du tracé initial (qui n'est pas encore sec !).

 

La peinture est un peu étendue au WS pour s'étaler plus facilement, la couche doit être très fine.

Reprise des intersections pour accentuer la couleur.

 

Comme indiqué plus haut, j'ai commencé par une couleur tirant sur le bleu, conformément à la gravure. Pas de bol, je vais devoir retoucher ...

Une ligne jaune vient ensuite agrémenter les bandes vertes.

 

Si elle doit être très fine, elle est très facile à placer, au centre des losanges.

Et je comptais bien m'arrêter là ... C'était assez conforme à la gravure.

 

J'ai préféré corrigé pour noircir les lignes vertes et surtout les losanges bleus.

 

Un jus de noir de bougie (Lamp Black) permet de corriger le tir. Il se pose facilement : bien liquide, il s'écoule facilement et s'arrête naturellement sur la bordure de la bande.

 

 

Voilà, c'est presque bon. je renforcerai plus tard le noir des intersections.

 

Les chaussures sont traitées dans le même temps, au noir d'ivoire avec des reflets de jaune d'aurore puis de blanc de titane. Les boucles métalliques sont traitées à la poudre et au liquin.

 

 

 

 

 

 

Le kilt

 

 

 

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Comme on s'en serait douté, le fond est jaune.

 

Ici c'est juste la couche de base Humbrol matt 24 + 154

Le tracé du motif ; il est ici tout simple.

 

La peinture verte est un peu dilée, le jaune transparaît donc sous les bandes vertes, dont les intersections sont soulignées immédiatement

Poursuite du travail en accentuant les ombres et les lumières.

 

N'ayant pas trop l'habitude de travailler du jaune, je me suis aperçu que mes couleurs encaissaient très mal le séchage au four. Donc séchage à l'air libre, c'est juste plus long ...

 

J'en profite pour ébaucher la veste, le gilet et le sporan

Et on continue avec les lignes, d'abord les vertes foncés, puis les jaunes. 

 

La veste se poursuit, la peinture des passe-poils est un assez long moment de solitude en compagnie d'un tout petit pinceau ! (Raphaël 8404 n° 6/0 à poils courts)

Le même vu de dos. A l'arrière, tout plissé, veiller à ce que les lignes horizontales restent bien parallèles en vue d'ensemble.

 

Une information utile (merci Philippe B !) : la plupart des kilts sont faits de sorte que le motif du tartan soit reproduit sur les plis de l'arrière. Ceci s’appelle ‘’plier suivant le sett’’ (pleating to the sett). C'est le cas ici.


Les kilts militaires, quant à eux, sont souvent pliés suivant les lignes (pleating to the stripes). Il s'agit des lignes de couleurs qui peuvent distinguer des régiments dont la couleur de fond du kilt est identique. Mais tous les kilts ne s'y prêtent pas.

 

Dernière étape, imprévue au départ : l'ajustement de la couleur des bandes, comme précédemment sur les chaussettes.

 

La partie du kilt située au dessus du sporan a été décorée (j'avais un doute à l'origine ...). Et la dague (sgian dudh) a été mise en place, c'est plus facile pour la pose des lumières.

 

 

Voilà pour le kilt, qui constitue un bon échauffement pour la suite !

 

 

 

 

Le plaid

 

 

Le plaid est cette grande pièce de tissu portée sur l'épaule et qui retombe à l'arrière. Il est garni de franges torsadées.

 

Mêmes couleurs que le kilt et même motif, mais qui va paraître plus compliqué en raison des plis et du tombé du tissu ... Prévoir d'y passer un certain temps !

 

 

Le début n'est pas très spectaculaire, il s'agit simplement des couleurs de base Humbrol, un mélange de 2 jaunes matt n° 24 et 154, comme pour le kilt.

 

 

Le tenon fixé sous le buste est bien pratique pour la manipulation avec une pince chirurgicale à clamper.

 

La pièce est en deux parties, c'est plus facile pour l'accès du pinceau. En revanche, la difficulté sera d'obtenir exactement la même chose sur le plaid que sur le kilt. Même si la palette est la même, si on n'y prend pas garde, une différence de tonalité ou d'éclairage est vite arrivée ... 

 

 

Deux couches de peinture à l'huile ont tout d'abord été passées pour mettre les plis en ombres et lumières. Je n'ai pas fait de photos ... Veiller à bien accentuer les contrastes, voire à les exagérer, car le motif va aplatir tout ça

 

 

Comme la peinture est assez longue à sécher, on a le temps d'étudier soigneusement les plis du tissu pour imaginer comment les bandes de couleur vont se positionner afin de reconstituer le motif.

 

C'est absolument indispensable, sinon l'échec est assuré !

 

Et voici le premier résultat. Même si les photos sont nulles, le motif d'ensemble apparaît assez bien. Les croisements des bandes vertes sont soulignés pour former des carrés.

 

 

Pour l'instant le motif paraît simpliste, presque décevant ...

 

Mais c'est maintenant que les choses vont devenir amusantes avec le tracé des lignes : 4 lignes jaune sur chaque bande verte, et 2 lignes vert foncé sur chaque bande jaune.

 

La peinture est un peu diluée, plusieurs passages sont donc nécessaire (le jaune est bien transparent ...)

 

Enfin, j'ai utilisé 2 pinceaux WN série 7 sable n° 000, dont la pointe est incomparable (et qui résistent bien à l'usure ; soyons économes, c'est un écossais !). Le premier pinceau sert à peindre, le second à nettoyer les écarts au WS.

 

Voici les premières lignes jaunes :

 

 

Un très long moment plus tard, tout est en place !

 

 

Je me suis appliqué à donner un effet d'éclaire zénithal, pas facile dans tous ces traits ...

 

La partie intérieure du plaid est moins éclairée. Elle a pu être peinte sans difficulté, la pince à clamper est vraiment pratique.

 

Et c'est enfin l'assemblage ! Les derniers réglages de couleur seront faits ensuite. 

 

 

 

Un plan plus rapproché de l'arrière du plaid. 

 

 

Et pour terminer, toujours en gros plan, l'ajustement des couleurs des bandes et lignes vertes, avec un jus de Lamp Black.

 

Ce jus vient flouter un peu le tracé, ce qui n'est pas plus mal (c'est du tissu !) et il permet de travailler encore un peu les ombres et les lumières.

 

Mais la prochaine fois, je crois que je tâcherai de faire la bonne couleur tout de suite !

 

 

Pour la suite et la fin, il reste la veste, la buffleterie ... et le visage qui n'est pas encore commencé à ce stade. Ce serait dommage de le rater !

 

 

 

La veste

 

 

La suite avec la veste et la buffleterie. Ici pas de carreaux (encore que ... on pourrait, mais ça ferait un peu beaucoup !) ni trop de contraintes de couleur, sauf obtenir une belle harmonie d'ensemble.

 

La veste, envisagée un instant marron, va virer au vert foncé. La couche de base marron qui figure sur les premières photos sera donc transformée en noir (Humbrol mat 85) avant de commencer la peinture à l'huile.

 

Ici aussi, les deux parties sont travaillées séparement, avant d'être terminées après l'assemblage.

 

 

Les couleurs sont à base de Noir d'ivoire (R), Brun Van Dyck (R), Bleu de cobalt turquoise (WN) et ocre jaune (R).

 

Les passe-poils sont peints avec un jeu de noir puis les reliefs des torsades sont rehaussés en gris (Noir d'ivoire + Blanc de titane), pouvant aller jusqu'au blanc presque pur par endroit. Pinceau Raphaël 8404 n° 6/0; C'est assez (ch...) long ... et sur la partie haute il y en a plein aussi !

 

 

 

La partie haute justement, selon le même principe 

 

 

Finitions après montage : les ombres et lumières sont travaillés par de fins glacis localisés. A partir de la palette initiale :

  • une pointe de violet est ajoutée dans les ombres les plus profondes,
  • et une pointe de jaune orangé dans les lumières les plus vives.

 

Voici le résultat

 

 

Les boutons et boucles métalliques sont faits à la poudre métallique argentée mélangée à du liquin avec un peu de Noir d'ivoire.

 

Lorsque c'est sec, des jus de peinture (Noir d'ivoire et Brun VanDick)  et des pointes de poudre pure dans du liquin viennent améliorer la définition.

Et pour les cuirs, du Noir d'ivoire, du Jaune de Naples Extra (OH) et qques pointes de Blanc de Titane. Des lumières assez vigoureuses permettent de simuler des reflets brillants. Enfin, les coutures sont reproduites en trompe-l'oeil.

 

 

 

La lame de l'épée (claymore) a été refaite en carte plastique, qui permet d'obtenir quelque chose de parfaitement droit et de bien affuté.

 

Quand à la garde (basket-hilt), le métal brut a simplement été poli puis travaillé avec quelques jus de peinture de noir de vigne (Blue Black WN) et de noir d'ivoire).

 

Les manches des dagues(dirk - il y en a trois) sont garnis de bandes de cuir entrelacées.

 

 

 

 

Le visage

 

 

 

Le visage est fort bien gravé sans être très expressif, ce qui est cohérent avec l'attitude générale de la pièce, très statique : MacLachlan pose pour MacLeay !

Juste 3 photos : la couche grise, la base Humbrol (mélange de mat 61 et de mat 63), et la peinture presque définitive.

La palette de départ est toute simple : TOB et TSB (WN) - Ocre d'or (R) - Blanc de titane (S).

 

En finition, on incorpore du vert foncé dans les ombres, et un peu de jaune orangé dans les lumières, dont les plus vives sont au blanc pur.


 

 

 

 

Et c'est la fin ... déjà (?)

 

 

 

Voici la pièce terminée, solidement fixée sur son socle.

 

Pour l'harmonie de l'ensemble, on retrouve les mêmes couleurs dans le décor ... mais celui-ci est beaucoup plus rapide à peindre que le personnage !

 

Et les plus observateurs remarqueront que la plaque du sporran a changé en court de route, pour suggérer autant que possible à cette échelle, le sigle du clan MacLachlan, un chateau à trois tours 

 

 

Et pour terminer cette longue page, une galerie de photos sous tous les angles.

 

Une pièce complexe certes, mais très agréable et qui permet d'obtenir un résultat satisfaisant pour peu qu'on veuille bien lui consacrer tout le temps nécessaire ... voire davantage !

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Commentaires: 5
  • #1

    poupi (samedi, 11 février 2012 15:25)

    Bravo, c'est magnique,j'ai le même à faire et vous m'encourager à commencer , Tous vos articles , Içi sur votre site , ou dans la revue "figurines" sont trés explicites. J'ai eu la chance de vous voir à Coueron en juin 2011, ou je participait à mon prelier concours. J'ai pu voir votre travail de prés , et c'est fabuleux .Encore merci, et continuez à nous donner envie de peindre. je suis membre du club de "L'Archer Lormontais" .

  • #2

    JFP (samedi, 11 février 2012 21:00)

    @poupi : merci beaucoup pour ces compliments. Et bon courage pour la peinture de cette figurine qui va te donner sans doute quelques soucis, mais aussi beaucoup de satisfactions !

  • #3

    Roger (vendredi, 17 février 2012 08:34)

    Qu'est-ce-qu'elle est belle ta figurine. Merci aussi de ton article qui, une fois de plus, est très didactique. Il y a beaucoup de choses qu'on peut apprendre, même si ce ne sera pas demain que je vais m'atteler à peindre une figurine aussi compliquée. A ce propos, félicitations aussi pour ton article paru dans le dernier "Figurines" (le joueur de cornyx). Je l'ai également lu avec beaucoup d'intérêt. Alors encore une fois merci pour ton remarquable travail.

  • #4

    Duck (vendredi, 17 février 2012 19:59)

    Les mots me manquent pour exprimer mon admiration, mais ce qui me fascine c'est la dextérité dont tu manifestes pour ajuster et coller, ensuite le haut et le bas déjà peints sans coulure de colle. Est-ce que le collage de la tige se suffit à lui-même?
    Cordialement.

  • #5

    marco (mardi, 08 mai 2012 21:02)

    encore bravo pour cette peinture exceptionnelle !